Le bal de la fête nationale

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Mer 12 Mar 2008 - 15:07

Depuis le temps qu’il attendait de la tenir ainsi dans ses bras il profitait au maximum de chaque seconde de la danse.
Lorsqu’elle lui demanda qui il était il hésita un moment avant de répondre.

Belle Dame, j’ai bien peur que si je vous dis qui je suis vous ne me fuyez une fois encore…Donc disons juste que nos chemins ce sont effectivement croisés quelques fois ces derniers temps.

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Mer 12 Mar 2008 - 15:07

Le Danseur avait compté une à une les minutes qu'il avait fallut à Monseigneur pour abandonner la Gente Dame ainsi que les petits regards appuyés, les sourires et les galanteries. Visiblement l'homme s'amusait de le voir ainsi mécontent et en profitait! Quand enfin il s'en alla le Danseur se tourna vers la Gente Dame un sourire contrit aux lèvres.

Veuillez excuser madame mes manières un peu cavalière mais, voyant le nombre de vos admirateurs, j'ai crains de ne jamais avoir la chance de danser avec vous.

Doucement il l'entraîna au rythme de la musique.

Vous avez déclenché l'émoi de bon nombres d'hommes ce soir... mais il est vrai que cela est aisément compréhensible, un regard de vous et l'on serait près à toutes les folies. S'il en est ainsi lorsque vous êtes masquée je n'ose imaginer ce qu'il se passe habituellement, quand vous brillez de tout votre éclat... N'avez vous jamais eu d'ennuis à cause de cela?

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Mer 12 Mar 2008 - 15:08

Quand elle ôta son masque il sentit son coeur manquer un battement. La lune sculptait avec grâce chacun de ses traits, jouait joyeusement dans sa sombre chevelure et faisait paraître sa peau encore plus pâle. Dire qu'elle était belle eut été un euphémisme. En cette instant elle était la beauté, elle était sa lune, son soleil, son étoile. Elle était son monde et rien d'autre n'existait. A son tour il ôta son masque. A quoi aurait-il servit à présent?
Doucement elle prit sa main et étrangement il pressentit qu'elle allait lui proposer de danser. Pourquoi diable avait-il parler de cela? Avec un petit rire amusé il la laissa l'attirer à elle.

Très bien...je vous écoutes professeur...

Entendant qu'elle avait un peu froid il ôta son pourpoint et le passa autour des épaules de Léanne.

Je m'en voudrais que tu attrape un mauvais rhume, fit-il simplement.

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Mer 12 Mar 2008 - 16:46

Enfin il abaissa ses yeux et leurs regards se croisèrent à nouveau. Mais alors qu’il parlait elle sentit ses joues s’enflammer. Rapidement ce fut elle qui ne pu soutenir son regard et qui détourna les yeux. Que lui arrivait il ? Bien sûr son cavalier la couvrait de compliments qu’elle rêvait d’entendre mais elle avait le sentiment que dit par un autre ces mêmes mots n’auraient pas le même effet sur elle. En effet, en même temps que son visage prenait des couleurs son cœur s’emballait et son esprit s’embrouillait.
Elle réussit finalement à reprendre un minimum le contrôle d’elle-même.

Vous me flattez Messire…

Une nouvelle fois elle croisa son regard, elle devait savoir s’il l’avait reconnu ou non. Après un court silence elle se lança.

Messire…Je me trompe peut être mais il me semble vous avoir déjà croisé dans cette cité…Est-ce le cas ?

Invité

Les propos de son cavaliers l'intriguèrent et elle répondit avec un sourire moqueuse.

Vous devez confondre messire. Je ne fuis jamais....même si parfois je m'éclipse précipitamment.

Une étincelle amusée brillait dans ses yeux tandis qu'elle cherchait à mettre un nom sur son cavalier. Elle l'avait donc déjà rencontré...et apparemment fuis... Mentalement elle fit la liste de tous les hommes devant lesquels elle était partie rapidement et qui aurait put considérer cela comme une fuite mais cela ne l'aida guère. Elle n'avait jamais été très à l'aise avec les hommes et avait une fâcheuse tendance à écourté les conversations.

Bon, réfléchie un peu.... qui as-tu fuis récemment?

Ils se connaissaient, c'était un fait, mais alors pourquoi n'arrivait-elle pas à le démasquer. Pareil regard, pareille sensation dans les bras d'un homme elle s'en serait souvenu....

William!

Non ce n'était pas possible, elle se faisait des idées.

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Mer 12 Mar 2008 - 17:15

Malgré tout ses efforts le désir qu'il avait pour la belle jeune femme allait croissant. A la question qu'elle lui posa il ne sut que faire. Il la regarda en silence un long, très long moment. Elle l'avait reconnu, il le savait, alors pourquoi lui poser cette question? Probablement, songea t-il, voulait-elle savoir si lui l'avait reconnue, ou s'il la prenait pour une autre. Que devait-il faire alors? Lui dire la vérité? Non pas après ce qu'il venait de lui dire. Lui mentir alors? Non il ne pouvait s'y résoudre.

La musique s'acheva doucement et ils s'arrêtèrent de danser. Un homme s'approchait et il y vit le seul moyen de ne pas avoir à lui mentir.

Cela vous ne le saurez jamais...

Doucement il porta la main de sa dulcinée à ses lèvres.

Merci pour cette danse ma belle amie.

Sans un mot de plus il s'esquiva.

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Mer 12 Mar 2008 - 17:22

Il avait abandonné son poste d'observation depuis quelques temps, et passait de dame en dame jusqu'à ce qu'il vit une jeune femme vêtu de blanc et de bordeaux.

Plutôt pas mal la donzelle...

Le cavalier de la dame venait justement de la quitter et il s'approcha.

Bonsoir damoiselle... Voudriez vous m'accorder cette danse?

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Mer 12 Mar 2008 - 17:32

Alors qu’il essayait de trouver une réponse à lui donner sans dévoiler qui il était la danse se termina et un jeune homme s’approchait déjà pour inviter sa cavalière.

Ce fut un plaisir de danser avec vous belle Dame.

Il lui baisa la main et s’éloigna.

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Mer 12 Mar 2008 - 17:33

Alors que la danse se finissait il remarqua une magnifique jeune femme dont le cavalier s’éclipser.

Pourquoi pas elle…

Madame m’accorderiez vous cette danse ?

Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 06/03/2008

Léanne adressa un joli sourire à Zack pendant qu'il posait son pourpoint sur ses épaules avec douceur. Cette soirée était la plus belle de sa vie... Avec un mouvement gracieux, elle prit l'autre main de son ami et alla la déposer contre sa hanche pendant que l'autre tenait toujours la main de Zack légèrement relevée.

Elle posa son regard dans le sien. Merci de m'avoir offert ton pourpoint, c'est très gentil. Maintenant, je vais te montrer la base des pas de danse, ce n'est pas bien difficile. Tu dois suivre le rythme de la musique et te laisser bercer par elle. Son petit nez se fronça comiquement lorsqu'elle réfléchit quelques secondes. C'est un peu comme si tu étais dans un immense pré qui serait balayer par une brise printanière.

Très lentement au début, elle montra quelques pas de danse à Zack, lui expliquant ce qu'il devait faire pour la faire avancer ou reculer dans la danse. Tu crois avoir saisi l'essentiel ? Si oui, nous allons accélérer la cadence pour y aller en rythme avec la musique.

Tout du long, elle devait lutter pour ne pas se blottir contre lui, son regard était si envoutant, ses bras si invitants. La princesse trouva injuste que la vie ait fait en sorte de voiler un tel regard.

Invité

Non ce ne devait pas être William...elle s'était fait des idées. Persuadée de cela, l'inconnue se tourna vers le jeune homme qui venait de l'interpeller. Il était plutôt bel homme et elle avait décidé de s'amuser ce soir.

Avec plaisir monseigneur.

Un large sourire illumina son visage et elle fit une gracieuse révérence, offrant à dessein, une vue plongeante de son décolleté. Quand elle releva les yeux vers son nouveau cavalier elle remarqua avec satisfaction que son petit stratagème avait fait son effet.

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Mer 12 Mar 2008 - 17:46

Avant même qu’elle est eu le temps de réagir son cavalier s’était éclipsé sans lui donner de réponse.

Maudit soit les hommes…

Alors qu’elle allait se dirigeait vers la table des rafraîchissements un autre jeune homme vint l’inviter.

Après tout pourquoi pas…

C’est donc avec un grand sourire qu’elle lui répondit

Ce sera avec plaisir messire.

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Mer 12 Mar 2008 - 17:55

Alors que sa belle cavalière faisait une gracieuse révérence son regard fut attiré par le profond décolleté de celle-ci.

Humm je sens que cette danse va être particulièrement intéressante…

Il entraîna sa cavalière sur la piste et bientôt ils valsèrent tous deux au rythme de la musique.
Une fois encore son regard s’attarda sur le décolleté de sa partenaire.

Vous êtes ravissante Madame. Je n’espérais pas rencontrer une telle beauté ici ce soir…Grâce à vous ma soirée sera plus qu’agréable j’en suis certain…

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Mer 12 Mar 2008 - 17:58

L'homme s'inclina poliment devant sa cavalière avant de la conduire sur la piste de danse. Une mélodie rythmée envahit la salle et, avec une certaine dextérité, il emporta sa partenaire dans la danse. La jeune femme dansait extrêmement bien et, même si cela était ordinaire comme compliment, il ne put s'empêcher de le remarquer.

Vous dansez divinement bien jolie damoiselle. Vous semblez aussi légère qu'une caresse...je m'attends presque à ce que vous vous envoliez...

Soudain il la prit par la taille et la souleva pour complaire aux pas de la danse. Quand il la reposa il était éberlué.

Incroyable...votre taille est aussi fine qu'un roseau...je ne crois pas avoir jamais vu une femme si gracile que vous...tant de délicatesse...c'est enivrant...

Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 06/03/2008

La Gente Dame regarda joyeusement le Danseur exprimer des excuses pour ses manières qu’elle ne comprenait pas vraiment, en fait. Elle était très étonnée de ce qui venait de se produire entre les deux hommes et cherchait toujours à comprendre comment il était possible que cela arrive. Tout en dansant, son nouveau cavalier lui fit de nombreux compliments qui teintèrent son visage de rose. Elle se félicitat de porter un masque à cet instant.

Des ennuis à cause de mon apparence ? Je n’ai pas souvenir d’en avoir déjà eu, Messire. En fait, je me considère comme une simple femme, comme toutes celles qui sont venues ici ce soir. Partout où se pose mon regard, je ne vois que de jolies dames et de jolis messieurs. S’accordant quelques secondes de silence, le temps de se laisser tournoyer gracieusement au rythme de la musique, elle reprit en souriant gentiment au Danseur. Je n’ai pas l’habitude de recevoir ce genre de compliments et surtout en aussi grand nombre, pardonnez mon malaise.

Elle hésita avant de poser une question puis se lança. Dites-moi, Messire, vous devez forcément connaître le jeune homme avec qui je dansais à votre arrivée. Pourquoi lui avoir dédié un tel regard ? Ma curiosité est sans limite, je le crains. Si je vais trop loin, n’hésitez pas à le dire. Elle rit doucement.

Invité

L’inconnue sourit avec coquetterie à la réflexion de son cavalier.

Croyez bien messire que vous n’êtes pas le seul à avoir eu des surprises ce soir. On m’aurait dit que je rencontrerai un homme aussi fascinent que vous je ne l’aurais pas cru. De grâce dites moi que vous êtes seul ce soir, que je ne verrai pas, d’un instant à l’autre, arriver une mégère pour vous ravir à moi.

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Ven 14 Mar 2008 - 15:30

Elle sourit aux compliments de son cavalier mais en fait elle ne l’écoutait pas vraiment, elle ne pouvait s’empêcher de penser à son précédent cavalier. Elle avait besoin de prendre l’air. Aussi après un moment elle s’excusa auprès de son cavalier et sortit sur l’un des balcons.
L’air frais était vraiment agréable. Elle rejoignit la rambarde et en se retournant vers la salle elle découvrit, caché dans l’ombre, un banc sur lequel elle alla s’asseoir gouttant ainsi à un peu de tranquillité. Elle en avait bien besoin…

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Ven 14 Mar 2008 - 15:38

Alors que son regard s’était une fois de plus égaré dans le décolleté de sa cavalière il releva les yeux et croisa son regard. Impossible ça ne pouvait pas être elle…Mais avec un tel regard il n’y avait pas de doute possible…

Alors comme ça tu me trouves fascinant…Dommage j’aurais bien profité de ce décolleté encore un peu…

Désolé de vous décevoir mais je suis accompagnée…Et je ne suis pas sûr que ta sœur apprécierait si nous continuions dans cette voie…

Sachant très bien ce qui l’attendait après de telles paroles il ne s’attarda pas.

Sur ce bonne soirée chère belle sœur…

Rapidement il laissa sa cavalière et s’éloigna parmi la foule.

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Ven 14 Mar 2008 - 15:47

Après avoir outrageusement flirté avec son cavalier, et avoir longuement valser avec lui, la danseuse l’avait doucement congédié souhaitant un peu de repos et de fraîcheur. Tranquillement elle se mit donc en quête d’un balcon désert où elle pourrait remettre de l’ordre dans ses idées….et un peu aussi dans sa tenue.
Les joues de la demoiselle rosirent quand elle se rappela les quelques instants passés dans l’une des alcôves. Heureusement qu’elle avait repris ses esprits à temps.

Grâce au ciel un peu de paix…

Avec un soupir de soulagement la jeune femme se laissa choir sur l’épaisse rambarde.

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Ven 14 Mar 2008 - 15:48

L’espace d’un instant, ou plutôt d’une danse, il l’avait quitté des yeux et voilà qu’elle avait disparut. Soudain il la vit, légèrement décoiffé et pressé, s’enfuir vers un balcon. Il fronça les sourcils et, quand il aperçut l’homme qui sortait après elle d’un petit coin tranquille il retint à grande peine un juron.
En quelques enjambées il rattrapa la jeune femme. Elle se tenait là, magnifique dans sa belle robe, avec ses longs cheveux d’ébène qui s’échappaient par endroit de sa coiffure.

Soeurette ?

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Ven 14 Mar 2008 - 15:50

Elle se retourna d’un bond en entendant une voix d’homme derrière elle. Son cœur battait la chamade comme celui d’une biche devant un chasseur. Si jamais l’un de ses frères apprenaient ce qui s’était passé son beau cavalier serait un homme mort. L’homme se tenait devant la fenêtre de telle manière qu’elle ne distinguait que sa silhouette. Il ôta son masque et fit quelques pas en avant pour venir s’asseoir près d’elle.

Andy, souffla t-elle soulagée. J’ai eu peur que ce soit Cole.

Tu as eu peur ?

Oui façon de parler….

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Ven 14 Mar 2008 - 15:51

Andrew passa doucement une main sur la joue de la jeune femme.

Une faute inavouable ?

Une erreur jugement.

On en fait tous.

J'ai l'impression d'en faire plus que les autres.

Un court silence s’installa entre eux avant qu’il n’ose reprendre.

Tu as réfléchit à ce que je t’ai dit tout à l’heure?

Andy chéri on ne peut pas. Tu ne peux pas faire ça.

Bien sûr que si !

Tu veux gâcher ta vie tout ça pour l’une de mes erreurs ?

Brusquement il se releva.

Je ne gâcherai pas ma vie voyons ! J’éviterai que tu ne gâches la tienne !

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Ven 14 Mar 2008 - 15:52

La jeune femme soupira et ôta à son tour son masque.

Andy…

Il s’approcha d’elle et, un genou à terre, prit doucement ses mains dans les siennes.

Kalys…petite sœur…je refuse que toi, ou ton bébé souffriez comme ma mère et moi avons souffert. Je sais ce que cela fait que d’être considéré comme un…comme un bâtard…

Tu n’es pas un…

Laisse moi finir je t’en prie…. Durant tout mon enfance on a rit de ma mère, la prenant pour une fille facile tout cela parce qu’elle a eut la faiblesse d’aimer un homme marié. Je ne veux pas…je ne peux pas te laisser vivre la même chose.

Andy…

Ecoutes moi… ne crois pas que cela sera un sacrifice pour moi…ce…ce n’en est pas un. Alors, si tu n’as pas d’objections valable, nous nous marierons le plus tôt possible, en secret, je te l’accorde ce n’est pas un mariage de rêve mais qu’importe ?

Si on apprend que nous sommes frère et sœur tu imagines ce qui nous attend ?

Mise à part Cole, toi et moi nul ne le sait. Et il n’y a pas de raison que cela change.

Andy…

Sujet: Re: Le bal de la fête nationale Ven 14 Mar 2008 - 16:01

Elle était installée sur ce banc depuis à peine quelques minutes quand une jeune femme arriva à son tour sur le balcon. Apparemment elle ne l’avait pas vu et elle s’apprêtait à s’éclipser discrètement quand un jeune homme la rejoignit.
Son cœur fit un bon dans sa poitrine quand elle reconnu les deux personnes présentes sur ce balcon. Elle savait qu’elle aurait du leur faire savoir qu’ils n’étaient pas seuls mais ses jambes refusées de bouger. Au contraire elle se cacha un peu plus dans l’ombre pour écouter ce qu’ils se disaient.
Soudain une phrase la fit réagir.

Citation :: Si on apprend que nous sommes frère et sœur tu imagines ce qui nous attend ?

Frère et sœur ?????

Elle se rendit compte mais trop tard qu’elle n’avait pas fait que penser ses dernières paroles. Espérant ne pas être reconnue elle rejoignit le plus vite possible la salle pour se fondre dans la foule.

Invité

Les derniers mots de son cavalier lui firent l’effet d’une douche froide et après qu’il fut partit elle resta un long moment pétrifiée.

Lancelot ! Je viens de danser avec Lancelot et pire que tout j'ai flirté avec lui !!!!

Un frisson d’horreur lui parcouru l’échine et elle ne vit bientôt plus qu’une solution…il lui fallait un verre pour oublier cet événement traumatisant. Rapidement elle rejoignit une table où elle avala cul sec le premier verre qui lui tomba sous la main qui, ironie du sort, contenait de l’eau. Le second essai fut plus convaincant et elle sentit bientôt une bienfaisante chaleur l’envahir tandis que l’alcool descendait le long de sa gorge.